La stratégie pensée, testée, développée et adaptée au fil des décennies par le patronat suite à mai 68
autour de l’individualisation, de l’organisation « scientifique » du travail, du changement permanent et
de la « bonheurisation » a malheureusement porté ses fruits avec:
- un déclin du syndicalisme
- des conséquences délétères comme la fragilisation de notre sécurité Sociale
- l’arrivée de lois régressives sur le droit du travail
- et une explosion du mal-être au travail, et plus particulièrement chez les cadres
A la Cnam, notre Directeur Général est venu présenté lors d’un CSE exceptionnel ce 5 Novembre, une démarche pour améliorer la Qualité de Vie et les Conditions de Travail …
Ce type de démarche a déjà engagé à la Cnam il y a plusieurs années, avec des résultats aléatoires: une analyse de la situation et des cas de mal-être au travail parfois très fouillée, mais certains plans d’actions ont été vite rangés dans le même placard que les Cahiers de Doléances mis en place par E. Macron …
Quand le syndicalisme s’efface tout se dégrade, tout se déplace…
Décryptez dans ce document de la COFICT (Commission Fédérale des Ingénieurs, cadres et techniciens) de notre fédération CGT, notre analyse des conséquences de la non-syndicalisation des cadres: à lire ICI
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